Série LAdultère « Sandy » : (Partie 23). Enculée Dans Les Toilettes, Elle Satisfait Son Fantasme Et En Redemande.
Je mappelle Sandy, je mesure un mètre soixante-quinze pour 61 kilos, jai une jolie petite poitrine (80B) avec mes seins en forme de poires, jai de longues jambes fuselées et des petites fesses bien rondes. Jentretiens mon corps régulièrement afin de rester désirable le plus longtemps possible. Avec mes cheveux mi longs, noirs et lisses, mes yeux bleus et mon teint mat, javais plus beaucoup à Romuald avec lequel je vivais en couple depuis trois ans. Mais au vu des regards que me portent les hommes que je croise dans la rue, il semblerait que je ne les laisse pas indifférents.
Au mois de novembre dernier, je venais de fêter mes 27 ans, jétais secrétaire depuis deux ans dans une PME. Ce soir-là, javais prévenu mon compagnon que je rentrerais très tard car mon chef de service partant à la retraite, un pot de départ était organisé et un apéritif dinatoire était prévu. Après que le patron fit les éloges de Pierre Martin, mon ancien chef de service, il présenta lhomme qui lui succédera à son poste. Je fus quelque peu déçue, car cet homme que je connaissais à peine, layant croisé plusieurs fois dans les couloirs et une fois dans lascenseur, ne mavait jamais donné une bonne impression. Il faut dire que son ancienne secrétaire mavait dit quil avait essayé de la draguer à plusieurs reprises.
Je ne savais pas si elle disait vrai, jétais donc restée sur des aprioris et cela ne menchantait pas de devoir travailler avec Thomas Mercier, dautant plus quil nétait pas du tout mon type. Moi qui aimais les hommes grands et sportifs, il était assez chétif et ne mesurait même pas 1,70 m, je le dépassais dune tête avec mes talons. Avec ses cheveux châtains foncé, coupés en brosse et ses lunettes, il semblait sévère et antipathique. Même sa tenue vestimentaire ne mavait pas convaincue, son jean légèrement trop grand et sa chemise bleue, il semblait un peu trop négligé pour être un responsable de service.
Mais daprès les éloges que le patron fit sur lui, il était évident quil devait être très compétent. Pourtant, je ne sais pas pourquoi pendant cette réception, je ne pouvais mempêcher de le regarder. Souvent nos regards sétaient croisés et jétais contrainte de baisser les yeux, cet homme me perturbait. Nous étions avec une collègue de bureau et Pierre, le futur retraité, à notre deuxième coupe de champagne lorsque mon ancien chef tira par la manche Thomas et nous le présenta. Une fois encore, il me fixa droit dans les yeux et cela me perturba de nouveau, il me tendit une troisième coupe en me disant :
À notre future collaboration Sandy. Je peux vous appeler par votre prénom ?
Je navais pas osé dire non et que Mademoiselle suffirait, je répondis simplement « Bien entendu ». Javais aimé la tonalité de sa voix douce et lodeur de son eau de toilette. Lorsquil mavait effleuré la main et que nos doigts sétaient touchés, en me tendant la coupe de champagne, jeus une drôle de sensation. Ce nétait ni de lintimidation, ni de lappréhension mais plutôt un sentiment de bien-être. Pendant plus dune demi-heure, Thomas était resté avec nous, il fut très attentionné même cool et assez drôle.
Je métais aperçu que je mettais trompée sur son compte. Il nous servait les petites miniatures salées et sucrées et souvent, nos jambes se sont touchées, nos mains se sont frôlées et à chaque fois, cette sensation que javais ressentie au début, se transformait bientôt en excitation. Cétait indéniable, cet homme me faisait quelque chose.
Je métais éclipsée à lextérieur, javais envie de prendre lair le champagne me montait à la tête, je naurais jamais dû boire autant dalcool. Je me retrouvais donc seule, le regard vide en essayant en vain dallumer ma cigarette. Tout dun coup, je sentis contre moi, un homme dont la main tenait son briquet allumé. Machinalement, je posai mes deux mains sur la sienne et tendit ma cigarette vers la flamme.
Jappuyai un peu plus les fesses contre lui et lui pris sa main pour la poser sur le côté de ma cuisse en gardant la mienne sur la sienne. Je ne sais pas ce qui marrivait, je tendis mes lèvres pour lui faire une bise sur la bouche puis mapercevant de mon erreur, je métais retournée et je mexcusai immédiatement :
Désolée Monsieur Mercier, cest lalcool, je crois que je suis ivre. Je suis confuse, je dois rentrer.
Si vous êtes saoule, vous ne pouvez pas conduire. Venez à lintérieur et prenons un café. Il ne sest rien passé.
Thomas fut charmant et soccupa de moi comme un infirmier safférant auprès de son malade. Il mavait fait manger et boire, uniquement du café et de leau pétillante et dès que lalcool commença à se dissiper, il me délaissa quelque peu. Mais cela ne mempêchait pas de le regarder, il me mettait dans un tel état dexcitation que je ne pensais même plus à rentrer à la maison. Je navais quune envie, cétait de faire lamour avec lui et il ne me donnait pas limpression de vouloir la même chose que moi.
Pourtant, à chaque fois quil venait vers moi, je lui souriais sensuellement, jessayais en vain de le frôler, de toucher sa main mais il discutait avec dautre collègues en esquivant tout contact avec moi. Jétais chaude comme de la braise, je vous avoue que javais très envie de sexe. Dans létat où jétais, jaurais même couché avec mon patron ou mon ancien chef de service, sils mavaient fait une proposition indécente.
Puis, vers 22 heures, de nombreux convives nous avait quittés, Thomas mavait pris par la taille et mavait fait la bise sur la joue. Je me doutais bien quil me désirait depuis longtemps. Il avait compris que jétais prête à faire lamour avec lui, il devait toutefois en être sûr et surtout faire attention à notre patron, il avait attendu que celui-ci nous abandonne avant dintervenir.
Tu veux prendre lair, jai très envie de fumer et toi ?
Ok ! Allons-y, ça me fera le plus grand bien.
Nous pensions nous retrouver seuls mais malheureusement, quelques jeunes célibataires, filles et garçons, monopolisaient la terrasse. Nous nous étions quelque peu écartés, il sortit son paquet de blondes, men tendit une et après les avoir allumées, il posa sa main franchement sur ma fesse gauche. Voyant cela, je ne me gênais plus, je posai ma main sur son entre jambe et en palpant la bosse qui prenait forme dans son pantalon, je navais aucun doute, Thomas saurait me contenter :
Je te trouve magnifiquement belle Sandy.
Merci Thomas, je sens bien que je texcite surtout. Tu bandes et ça me plait. Lui répondis-je en serrant son sexe un peu plus dans ma main.
On se retrouve dans mon bureau ? Me demanda-t-il en me pelotant un de mes seins.
Non pas dans ton bureau, aux toilettes plutôt, jen fantasme depuis si longtemps. Lui répondis-je sans pudeur.
Nous finissons notre clope et jy vais. Rejoins-moi dans quelques instants. Soit discrète
Jespère que je serai à la hauteur de ton fantasme.
Quelques minutes plus tard, je traversai la salle, il ne restait plus grand monde et personne ne fit attention à moi, ils finissaient les bouteilles de champagne. Thomas était déjà aux toilettes, je fis mine de quitter létablissement en saluant le personnel encore présent et me dirigeai immédiatement le rejoindre. Il mattendait avec impatience devant le lavabo du fond, il avait déjà enlevé la boucle de sa ceinture et descendu sa fermeture éclair. Je traversai la salle deau et vint me plaquai à lui. Nos bouches se soudèrent dans un baiser fougueux, nos langues sorties, tournèrent en se mélangeant.
Il me repoussa contre le mur, mon dos et mes fesses contre le carrelage, javançai les jambes et les écarta. Sa bouche pris possession de mon sein droit, pendant quil pinçait mon téton gauche puis commença à descendre pour se retrouver à genoux devant moi la tête sous ma jupe et ses mains me pétrissant les fesses. Comme nous nétions pas rentré dans une cabine, quelquun pouvait franchir la porte et nous voir ainsi, le danger me faisait saliver et sajoutait à mon plaisir.
De sa bouche, il aspira mes grandes lèvres puis passa sa langue à lintérieur de ma fente. Mon clitoris était en totale excitation, comme une perle sortant de sa cachette. Je mouillais fortement et lorsquil me laspira, mes gémissements se transformèrent en petits cris stridents, résonnants dans ces toilettes, dautant plus quun de ses doigts me caressait lanus et deux autres baisaient mon vagin.
Lorsque son doigt pénétra ma rondelle étoilée et sactiva en va et vient dans mon cul, marrachant un nouveau cri, je giclai mon plaisir dans sa main, javais atteint mon premier orgasme. Thomas me gratifia dun « Putain ! Une vraie fontaine ! Dis donc tu aimes ça ma salope » :
Oui javais très envie que tu me lèches la chatte.
Sans répondre, il se releva, poussa avec son pied la porte dune cabine, mattirant à lintérieur en me tenant par la main. Il avait baissé son pantalon en entier, sa bite se dressait, je fus surprise par cette très longue queue assez fine. Il me tira les cheveux derrière la tête et me força à magenouiller devant lui en disant :
Suce ma bite, petite vicieuse !
Je métais appliquée aspirant son gland puis en léchant sa hampe toute veineuse, avant de prendre toute la longueur de sa bite dans ma bouche. Thomas haletait et me parlait de plus en plus crument, minsultant même régulièrement : « Plus vite salope ! Tu aimes les bites cochonne ! Je vais te défoncer petite pute ! » Tous ces mots mexcitaient encore plus. Javais pris plaisir à sucer sa queue, il couinait de plaisir.
Avant déjaculer, il se retira de ma bouche, sécarta et mavait placée mappuyant avec les mains sur la cuvette des WC. Je lui offrais ainsi mon cul. Il entra dun coup sans peine dans ma chatte tellement mouillée que ça coulissait à merveille. Pendant quil prenait possession de mon vagin à grands coups de reins, jentendis la porte souvrir, un homme se vidangeait dans lurinoir. Puis lorsquil se lavait les mains, jentendis le bruit de talon claquant sur le carrelage. Aucun doute, ils entendaient mes gémissements, ses râles et le bruit que nous faisions dans ce minuscule endroit.
Les fesses de Thomas tapaient à intervalles réguliers contre la porte. Nous entendions se couple discuter se demandant : « Qui pouvait baiser dans les chiottes. Ma jouissance fut immédiate, je sentais ses couilles taper sur mes fesses avec force, sans soccuper de nos voisins, il continuait à minjurier. Il avait mis son pouce dans mon anus. Je sentais mon petit trou souvrir au plaisir, jétais en transe et expédia une nouvelle salve de jouissance qui me coulait le long des cuisses :
Tu as encore joui salope, laisse-moi t'enculer maintenant, te labourer le cul et te faire encore jouir.
Oui Thomas ! Encule-moi, baise-moi par le cul, laboure-moi, je veux ta bite ! Vas-y, je suis ta salope. Oh oui.
Il avait ressorti son gland de mon vagin et lavait immédiatement pressé contre mon trou dilaté par son gros doigt. Je sentis sa queue sintroduire dans mon rectum sans effort, jétais moite, je tremblais de bonheur, je suffoquais, je baignais dans un plaisir intense à chaque coup de boutoir. Ses coups se faisaient de plus en plus violents, il me pilonnait par derrière. Le couple plus gêné que nous était ressorti en faisant le moins de bruit possible. Il menculait toujours sans vergogne en minsultant et me disant que jallais avoir des difficultés de massoir pendant plusieurs jours.
Après un long moment, il comprit quil devait ressortir avant que son sperme finisse dans sa capote. Il se retira de mon cul, me retourna sans ménagement, jétais dans un état second, je venais datteindre une nouvelle fois lextase lorsquil mordonna en retirant son préservatif :
Magne-toi le cul sale pute, suce ma bite.
Je me retrouvais maintenant assise sur la cuvette, avalant sa longue queue tout en le branlant à sa base. Le cochon bandait dur, il me prenait la tête à deux mains et baisait ma bouche en poussant régulièrement le plus loin possible dans ma bouche. Je lavais sucer ainsi de longues minutes avant quil ne se lâche. Quand il sétait contracté pour éjaculer entre mes lèvres, il mavait gratifiée en me caressant les cheveux, le goût acidulé de son sperme me plaisait beaucoup, javalais sans dégout sa semence en aspirant la dernière goutte qui sortait de son méat.
Je me relevai, et nous sommes restés encore un moment à nous embrasser sensuellement. Javais énormément joui et jétais épuisée :
Putain, ! Tu baises bien ma salope.
Et toi, tu menculeras encore ?
Je te ferai hurler de plaisir, tu verras, tu ne regretteras pas ton nouveau chef.
Avant de sortir, Thomas passa sa tête discrètement à lextérieur, ne voyant personne dans le couloir, il me dit de filer après mavoir déposé un bisou sur la bouche.
À lundi pour une bonne baise.
Javais rejoint le parking, en prenant lescalier de service suivi de Thomas qui sétait éclipsé sans que personne ne saperçoive de sa présence. À la machine à café le lundi suivant, tout le monde sut que les toilettes fut le théâtre dune sodomie en bonne et due forme, mais les salariés se demandaient encore qui furent les acteurs ayant pris plaisir à jouer cette pièce.
Avec Thomas, qui était marié, nous avions pris lhabitude une à deux fois dans la semaine de renouveler lexpérience mais jamais dans son bureau ou dans le mien. Pendant trois mois, nous avions toujours utilisé les toilettes comme terrain de jeux sexuels, ce qui rendait notre relation bien plus excitante. Malheureusement, avec le confinement et avec le télétravail, nous ne nous voyions plus quoccasionnellement et depuis le retour des congés, nous avons stopper dun commun accord nos petites folies passagères. Bien entendu, je nai pas lintention de dire la vérité à Romuald car avec lui je prends le même plaisir mais différemment. Les mots « sale pute et Salope sont remplacés par Je taime ou mon amour » cela me fait jouir tout autant.
Chères lectrices et chers lecteurs, nhésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Sandy, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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